Après la petite Ninja, Kawasaki invente la petite Z

Publié le 4 novembre 2014 par Jérôme Ducret.

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Après la petite Ninja, Kawasaki invente la petite Z

La marque d’Akashi lance sur le marché mondial bien trois nouveaux modèles de petite cylindrée, mais grands par le style.

[vc_row][vc_column width= »1/1″][vc_column_text]Voila un modèle Kawasaki qui va ravir les débutants qui avaient la manie de mettre par terre leur Ninja 300 de la même marque. Avec à la clé des réparations coûteuse des carénages de la petite sportive. Au salon international de la moto de Milan, l’EICMA, la marque japonaise a sorti de sa manche, en effet, une petite Z, baptisée bien sûr Z 300, basée cela va de soi sur la Ninja 300, mais sous la forme d’un roadster.

Et Kawasaki en a profité pour aligner deux autres nouveautés manifestement dédiées pour l’heure uniquement aux marchés asiatiques ou en développement, la Ninja 250 SL, que nous appelerons donc Mini-Ninja, et la Z 250 SL (Mini-Z), toutes deux  mues par le même moteur monocylindre de plus faible cubature que les deux 300.

KawasakiZNinja250SL

Pour revenir à la Z 300, son propulseur est le même que celui de sa soeur Ninjette, à savoir un bicylindre parallèle de 296 cc, refroidi par liquide et qui développe un maximum de 39 chevaux. Soit un engin qui aime monter dan sles tours mais offre cependant une bonne poussée bien linéaire et croissante sur toute la plage de régimes.

Le freinage est confié à deux disques, adoptant la forme de marguerite ou de pétales, selon les visions des designers. Visuellement, ça fait plus grand, et c’est efficace pour dissiper la chaleur due au freinage. Si on le fait vraiment, vraiment très frot. La suspension avant est confiée à une fourche télescopique simple, l’arrière à un combiné amortisseur efficace. Le tout est réglé plutôt souple, pour être en phase avec la conduite en ville et avec le public cible, soit des motards pas trop expérimentés.

Dans le même esprit, la Z, comme la Ninja, a droit à un embrayage qui réduit grandement l’effort à fournir par le pilote. C’est un vrai plus, qui permet aussi de disposer d’un anti-dribble. Et enfin l’affichage est assez proche de la soeur sportive. On ne sait pas encore quand cette petite Z arrivera en Suisse, ni à quel prix, mais l’ABS fera à coup sûr partie de la dotation de base, et elle sera aussi disponible en noir.

Par Jérôme Ducret, photos Kawasaki et Jérôme Ducret

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