Contest Scrambler Ducati, encore quelques semaines

Publié le 12 janvier 2016 par Jérôme Ducret.

Actu, Test motos

Contest Scrambler Ducati, encore quelques semaines

Trois concessionnaires suisses, dont Bourguet Motos à Neyruz, participent à ce concours de customisation dont le résultat sera dévoilé à la World Ducati Week cet été.

Comme Harley, Yamaha ou Honda l’ont fait avec certains de leurs modèles (XG Street 750, CB 650 F, SR 400…), Ducati s’est lancé dans un concours de personnalisation avec pour compétiteurs ses concessionnaires de par le monde. Et la moto choisie n’est autre que le Scrambler 800, pensée dès le départ pour ce genre de transformation. La compétition s’appelle Custom Rumble et comporte une quarantaine de créations issues des six continents. Les six Scramblers qui auront reçu le plus de votes sur Instagram pourront participer à une finale, et il n’y aura qu’un seul vainqueur.

La délai pour voter court jusqu’au 20 janvier 2016. Plus qu’une semaine donc. Les six finalistes seront exposés le de la World Ducati Week 2016, du 18 au 20 juillet prochains, à Misano. Pour voir toutes ces motos, il suffit de cliquer sur https://www.instagram.com/customrumble

On trouve de tout, avec ou sans carénage, façon dirt ou track, minimaliste ou genre sapin de Noël. Trois concessionnaires suisses se sont lancés dans la bataille. Il s’agit notamment du romand Bourguet Motos, à Neyruz (canton de Fribourg), dont la création (numéro 3) se nomme Gold Finger (en photo ci-dessus).

Toute en finesse.
Toute en finesse.

« Nous avons pris comme point de départ un Scrambler Icon rouge, parce que c’est le modèle le moins cher de la famille Scrambler 800, explique Marco, de Bourguet Motos. Nous avons fait quelques changements, pas énormément. La peinture, bien sûr, pour les jantes et le châssis, dans une teinte qu’on pourrait appeler bronze-doré. Fait par un carrossier. Et la selle, une très belle création d’un jeune artisan sellier installé ici à Neyruz. » Il cite encore les rétroviseurs, « comme on les aime nous, petit et en bout de guidon », les clignotants, petits eux aussi, le support de plaque, des bandes thermiques sur les collecteurs d’échappement, « pour le look », et quelques autres détails soigneusement pensés. « On a voulu quelque chose de sobre. »

Au final, « Gold Finger » représente une surcoût de quelque 5000 francs par rapport au modèle d’usine, qui s’affiche déjà à environ 10000 francs. Pas de quoi affoler son banquier, en somme. La moto est en vitrine, et on ne sait pas encore si elle sera à vendre. « On n’y a pas encore vraiment pensé, conclut Marco. Si ça devait être le cas, on aimerait que ce soit un vrai passionné qui la prenne, et qu’elle n’aille pas trop loin de notre concession! ». La petite équipe de Bourgeut Motos planche déjà sur une autre transformation, cette fois hors Rumbler, avec carénage, et une fourche empruntée à une Panigale (!).

Pour la fine bouche, voici encore quelques images des deux Scrambler présentés par les deux autres concessionnaires suisses. Celle de Ducati Zentralschweiz (Buchrain), baptisé « Nitro », numéro 13 du Rumble.Ducati_Ducatizentralschweiz_Scrambler_1

Et celle de Hess Motos, à Ostermundingen, appelé « Quarter Smile » , numéro 38.Ducati_Hessmotos_Scrambler_1

Par Jérôme Ducret, source Ducati, images DR

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